• En finir avec la mycose de l'ongle avec les Huiles Essentielles
• Se débarasser des verrues avec les Huiles Essentielles
• Effacer les cicatrices grâce aux Huiles Essentielles
• Soulager l'arthrose avec les Huiles Essentielles
• Réduire les vergetures grâce aux Huiles Essentielles

• Solutions anti-peau grasse aux Huiles Essentielles
• Stopper la calvitie avec les Huiles Essentielles
• Combattre la cellulite avec les Huiles Essentielles
• Réduire les vergetures grâce aux Huiles Essentielles
• Combattre les vertiges avec les Huiles Essentielles

Une huile essentielle anti-inflammatoire est une huile essentielle dont les composés aromatiques combattent directement l'inflammation à la source.

Mais d'ailleurs, qu'est-ce qu'une inflammation exactement ? 
Une inflammation est la réponse du système immunitaire à une agression intérieure, comme une tumeur, ou extérieure telle qu’une infection (bactérie ou virus). Elle est en principe locale et s’accompagne de signes tels que des douleurs ou des tumeurs.

Elle débute par la phase que l’on appelle « réaction vasculo-exsudative » qui attire les premières cellules immunitaires, des granulocytes neutrophiles et des macrophages (ou encore dans certains cas des lymphocytes), contenus dans le sang vers la zone agressée. On observe dans ce cas une vasodilatation augmentant l’afflux sanguin aux alentours de cette dernière pour faciliter leur arrivée. Cette augmentation du calibre des vaisseaux sanguins se déclenche automatiquement après l’autolyse de l’histidine, produisant de l’histamine. C’est cette substance qui est sécrétée en réaction à l’introduction d’un corps étrangers considéré comme menaçant. Celle-ci est présente dans tous les tissus organiques animaux et humains. Le plasma, en abondance, et d’autres médiateurs de l’inflammation entrainent par la suite des effets secondaires : la douleur, la rougeur et le gonflement. Une fois sur place, les cellules sentinelles procèdent à la phagocytose ou absorption et digestion (donc élimination) de certaines particules étrangères à l'organisme.

On fait souvent la confusion entre huile essentielle « anti-inflammatoire », huile essentielle antalgique et huile essentielle « antidouleur ». Toutefois il existe une petite nuance entre les trois. La première contient des principes « actifs » qui luttent contre l’inflammation en direct et atténuent par conséquent les effets de l’inflammation. Alors que la seconde désigne une huile ayant seulement pour but ou diminuer seulement la douleur qui est l’un des signes cliniques de l’inflammation. Dans ce cas, on fait la différence ainsi entre l'analgésique, réduisant la sensibilité du corps à la douleur, et l'antalgique qui atténuent la douleur locale en la ciblant.

Les huiles essentielles sont capables de combattre tout type d’inflammations telles que :

• les inflammations cutanées
• les inflammations du système digestif
• les inflammations des os, articulations et muscles
• les inflammations liées aux maladies de l'hiver
• les inflammations du système respiratoire
• les inflammations liées à la circulation sanguine
• les inflammations et troubles intimes
• les inflammations liées aux troubles du bien-être

Voyons chacune de ces catégories de plus près !

La peau désigne l’organe formant l’enveloppe externe du corps de tous des êtres vertébrés. Puisque chez l’humain, elle n’est pas recouverte de fourrures, elle reste la seule véritable protection contre les agressions de l’extérieure. Ayant des propriétés assez extraordinaires comme l’élasticité ou l’imperméabilité, elle est souvent sujette à des maladies bénignes, infectieuses ou malignes et des lésions causant ainsi des inflammations. Les mécanismes inflammatoires différencient selon le problème de peau rencontré.

On compte un bon nombre de maladies inflammatoires de la peau. Pour certaines d’entre elles (minoritaire), on est encore incapable d’en définir exactement la cause. Tel est le cas de l’eczéma. Il se caractérise par une légère inflammation ou irritation provoquant des démangeaisons. Il n’est pas contagieux. D’autres sont les conséquences d’un déséquilibre au niveau du derme ou de l’épiderme comme l’acné. Cette affection touche principalement la peau du visage. On parle d’acné rétentionnelle quand une inflammation touche les cavités pilo-sébacées. Lorsque le sébum devient excédentaire aux alentours de la racine du poil de la peau, il bouche les pores.
On peut également citer le psoriasis : comme la verrue, cette dermatose est la manifestation du renouvellement anormal et rapide des cellules de l’épiderme. Néanmoins, il n’est pas causé par un quelconque virus ou microbe. On le définit simplement comme une défaillance du système immunitaire du tissu cutané. Les maladies inflammatoires cutanées comme l’herpès ou la gale sont l’œuvre de virus ou de parasites. Soit ils s’attaquent directement à la peau comme le font les acariens, soit ils détournent la machinerie cellulaire pour se reproduire. Le résultat est le même : irritation ou inflammation. On note de même que quelques pathologies entrainent des excroissances désagréables et inesthétiques comme le cors au pied ou les verrucosités.

Les huiles essentielles anti-inflammatoires cutanées sont :

• L’huile essentielle de bois de rose (contient du trans-oxyde de linalol et du linalol). Elle traite les problèmes d’acné, de vergetures et de brulures.
• L’huile essentielle de citron (contient du limonène, du beta-pinène et des citrals) qui lutte contre les acnés et les excès de sébum.
• L'huile essentielle de clou de girofle (contient de l’eugénol) luttant contre la gale.
• L’huile essentielle d’écorce de cannelle (contient du trans cinnamaldéhyde). Elle est efficace contre les verrues et les mycoses
• L’huile essentielle de géranium (contient de l’aldéhyde et de l’ester monoterpéniques). Elle traite les plaies, le psoriasis ou les brulures.
• L’huile essentielle de menthe poivrée (contient du menthol et aussi du 1,8-cinéole) qui atténue les démangeaisons localisées et combat les eczémas et les urticaires).
• L’huile essentielle de niaouli (contient des carbures sesquiterpéniques et 1,8-cinéole), combat les infections cutanées, mycoses, herpès, verrues, furoncles, l’acné, brulures…
• L’huile essentielle de Palmarosa (contient du Géraniol) qui fait face aux infections virales, aux eczémas, aux acnés, à la rougeole ou encore à la rubéole.
• L’huile essentielle de romarin (contient de l’alpha-pinène et du 1,8-cinéole) qui débarrasse la peau de toute sorte d’agression
• L’huile essentielle de Ravintsara (contient du 1,8-cinéole, de l’alcool monoterpénique et de l’alpha-pinène). Elle est efficace contre les boutons de fièvre, les infections virales ou bactériennes, l’herpès et tous les problèmes de peau comme l’acné.
• L’huile essentielle de Tea Tree ou arbre à thé (contient des alcools et carbures monoterpéniques) qui lutte contre les verrues, les eczémas, les prurits, les mycoses, les boutons de fièvre, le psoriasis, l’excès de sébum…
• L’huile essentielle de thym (contient du Terpinéol et du linalol) agit sur les inflammations diverses de la peau, les boutons de fièvre…

Le système digestif humain est complexe. Il se compose de différents éléments uniques qui ont chacun leur rôle. En partant de la langue jusqu’au gros intestin, il comporte 19 organes. Ceux-ci sont dans ce cas exposés à des troubles et maladies diverses. La plupart restent bénignes comme la diarrhée. Cependant, on compte aussi un nombre important de pathologies graves tels que le cancer.  

Le type de maladie digestive varie en fonction de la partie touchée. De plus, les origines des inflammations sont multiples. La gastro-entérite et la gastrite sont dues à une fragilisation de la muqueuse de l’estomac. Cette dernière a pour fonction de prémunir cet organe des agressions des sécrétions acides pendant la digestion. Si elle s’endommage (par une attaque microbienne ou par consommation excessive d’alcool par exemple), les parois de l’estomac s’exposent à ces acidités. De là viennent les inflammations. Pour les autres éléments de l’appareil digestif, les substances ou organismes nocifs s’attaquent directement aux cellules de l’organe comme la colite ou la pancolite, l’inflammation du colon. La rage de dents (les dents faisant partie du tube digestif !) se traduit comme l’inflammation de la pulpe dentaire (ensemble des nerfs et vaisseaux autour de la dent). Cela est soit l’œuvre d’une bactérie qui détériore les tissus de celle-ci par leur enzyme soit l’effet d’un dommage provoqué par un choc. L’angine est l’inflammation du pharynx. La jéjunite est l’inflammation du jéjunum, une partie de l’intestin grêle se trouvant au milieu du duodénum et du caecum. Autant de possibilités que d’organes et de causes. Voyons plus en détail.

Les huiles essentielles anti-inflammatoires du système digestif sont :

• L’huile essentielle d’eucalyptus radié (contient du 1,8-cinéole) et traite les infections virales ou bactériennes, le mal de gorge et les sécheresses buccales, notamment de l’appareil ORL.
• L’huile essentielle de basilic (contient du lilanol) et traite de la gastro-entérite, les indigestions, etc.
• L’huile essentielle de cannelle (écorce et feuilles, contient du trans cinnamaldéhyde) et s’attaque aux troubles de l’appareil digestif comme la gastro-entérite, les indigestions et la gastrite, la diarrhée…
• L’huile essentielle de citron (contient du limonène, du beta pinène et des citrals) et traite les indigestions.
• L’huile essentielle de clou de girofle (contient de l’eugénol) et traite les crampes d’estomac, la gastrite mais surtout les troubles bucco-dentaires
• L’huile essentielle de gingembre (contient des sesquiterpènes) agit sur la constipation, aide à la digestion.
• L’huile essentielle de lavande (contient du linalol, et du terpinène-4-ol) agit sur les rages de dents.
• L’huile essentielle de menthe poivrée (contient du menthol). Elle traite la gastrite et autres inflammations nécessitant un anesthésiant naturel

Formés de tissus conjonctifs, les os constituent les éléments du squelette des vertébrés. Ils ont plusieurs fonctions en plus de supporter le corps : la moelle osseuse par exemple génère les globules. Les pièces osseuses se lient grâce aux articulations. Le rôle des muscles est de permettre à cet ensemble de se mouvoir de manière coordonnée et équilibrée. Comme pour les autres organes, les os, les articulations et les muscles peuvent subir des inflammations. Celles-ci sont des réactions de l’organisme face à un trauma, une substance nocive ou une invasion microbienne. Il s’agit de pathologie « rhumatismale inflammatoire » et la plupart du temps d’un contrecoup de l’action du système immunitaire.  

En ce qui concerne les os, l’inflammation atteint soit la moelle soit les tissus osseux eux-mêmes. L’ostéite est la maladie des os la plus commune. Elle survient à la suite d’une infection bactérienne. Le micro-organisme pénètre alors dans le corps en passant par une ouverture : blessure ou tout autre type de lésions occasionnées par une autre pathologie de la peau. On parle d'ostéomyélite si la bactérie gagne la moelle osseuse.

Les malades inflammatoires des jointures sont plus difficiles à supporter. Chaque mouvement entraine une douleur intense. L’arthrite découle d’une bactérie choisissant de se développer sur l’articulation. Évidemment, elle entre dans le corps à travers une lésion et passe par les vaisseaux sanguins. Si on ne l’éradique pas, elle parvient à détruire totalement la glène conduisant à une affection chronique (l’arthrose). Il arrive que l’infection s’étende sur plusieurs articulations (polyarthrite ou polyarthrose). En outre, par réaction auto-immune, l’organisme cause à lui-même des dégâts donnant lieu à des inflammations au niveau des articulations. Les mécanismes de cette pathologie restent encore inconnus.

Les muscles aussi ne sont pas épargnés par les affections inflammations. Parmi elles, on citera la dystrophie. Elle se définit comme la lésion des tissus conjonctifs musculaires. Ce trouble vient en réalité d’un manque de nutriment ou d’un problème génétique. Les muscles sont de plus en proie à des pathologies auto-immunes ou des infections qui aboutissent à des crises d’atrophie ou diminution de la masse musculaire. Il existe d'autre part des brulures déclenchées par des désordres hormonaux (strumite) ou enzymatiques.

Voici les huiles essentielles anti-inflammatoires pour les os, les articulations et les muscles les plus connus :

• L’huile essentielle de citronnelle (avec les composants comme les aldéhydes terpéniques et les esters) soulage les rhumatismes, l’arthrite et l’arthrose.
• L’huile essentielle de lavandin possède les principes actifs (esters monoterpéniques et carbures sesquiterpéniques) qui agissent sur les courbatures, la tendinite. Elle apaise aussi les douleurs musculaires, des crampes et des contractures.
• L’huile essentielle d'eucalyptus citronné (contenant du citronellal) est la solution recommandée pour tout type de maladie rhumatismale comme la tendinite, l’arthrose, les élongations…)

Un bon nombre de virus ne deviennent vraiment actifs que pendant l’hiver, période pendant laquelle l’environnement devient propice à leur développement et que le système immunitaire de leur hôte se fragilise. Propagés dans l’air, les virus se protègent du froid grâce à une membrane. Si la température augmente, celle-ci disparait et laisse éclore le microorganisme. Voilà pourquoi il ne survit pas en été. 

On recense une dizaine de maladies de l’hiver et elles sont toutes d’origine infectieuse. On les classe dans ce cas en deux catégories :

• Les maladies affectant les voies respiratoires. Le germe pathogène contamine la muqueuse nasale (rhume), la bronche, le pharynx, la trachée et occasionne des inflammations parfois difficiles à supporter.
• On a ensuite les maladies digestives qui perturbent les organes de l’appareil digestif comme la gastro-entérite. Cependant, la plupart d’entre elles demeurent bénignes à l’exemple de la grippe saisonnière. Assez répandue, elle cause de milliers de décès chaque année en France.

À ces pathologies on rajoute celles qui ne sont pas le fait d’un quelconque micro-organisme comme les engelures hivernales. Ces lésions inflammatoires altèrent principalement les extrémités du corps (oreilles, doigts ou orteils) et suscitent de très douloureuses brulures. Par l’effet du froid, les parties de l'organisme concernées enflent et rougissent. Cela est dû à une diminution du calibre des vaisseaux sanguins diminuant la quantité de sang vers ces derniers. Ils refroidissent ipso facto. En réaction, le corps augmente le débit sanguin. Les vaisseaux ne supportant pas la pression finissent par se détériorer. Ce mécanisme est le même pour les altérations du système cardiovasculaire. 

Les huiles essentielles anti-inflammatoires des maladies hivernales sont :

• L’huile essentielle de Ravintsara (contient du 1,8-cinéole, de l’alcool monoterpénique et de l’alpha-pinène). Elle est recommandée en cas de bronchite, d’otite, de rhinopharyngite, de grippe, de rhume des foins, de bronchite et diverses infections virales des voies respiratoires comme la rhinite.
• L’huile essentielle d’eucalyptus radié (contient du 1,8-cinéole). Elle est efficace contre le rhume, la bronchite, la sinusite, les allergies et la toux sèche
• L’huile essentielle de lemongrass avec ses molécules de citral agit sur les rhumatismes et fait disparaitre la varice ou les jambes lourdes.
• L'huile essentielle de clou de girofle (contient de l’eugénol) traite l’angine.
• L’huile essentielle d'eucalyptus citronné (contenant du citronellal) aide le corps à éradiquer les inflammations sur l’ensemble des voies respiratoires.
• L'huile essentielle de gaulthérie (contient du salicylate de méthyle) favorise la bonne circulation sanguine grâce à son action similaire à celle de l’aspirine
• L’huile essentielle de menthe poivrée (contient du menthol et aussi du 1,8-cinéole) lutte contre le rhume, la grippe, le nez bouché et les autres affections des voies respiratoires.
• L’huile essentielle de niaouli (contient des carbures sesquiterpéniques et 1,8-cinéole) qui se débarrasse de la sinusite, de la toux, des infections virales, de l’otite, bronchite et du rhume.
• L’huile essentielle de tea thee ou arbre à thé (contient des alcools et carbures monoterpéniques) qui combat la bronchite et quelques infections de l’appareil respiratoire.
• L’huile essentielle de thym (contient du Terpinéol et du linalol) dont l’efficacité est indéniable contre la laryngite, le mal de gorge, la sinusite et la bronchite
• L’huile essentielle de cyprès toujours vert avec ses carbures sesquiterpéniques traite la toux sèche

L’appareil respiratoire a un rôle capital. Il apporte au corps l’oxygène dont il a besoin et rejette le dioxyde de carbone ou d’autres gaz inutiles. Il est l’objet de quelques maladies inflammatoires qui sont soit aiguës soit chroniques.

Les pathologies de la poitrine s’accompagnent dans la majorité des cas d’une inflammation. Certaines ne présentent pas d’ailleurs de symptômes particuliers comme la sarcoïdose. Les troubles bénins et facilement traitables sont souvent d’origine virale ou microbienne. L’agent pathogène se propage dans l’air et s’installe généralement dans les poumons comme la tuberculose ou encore la bronchiolite. Toutefois, différents traumatismes ou affections peuvent être les causes de la réaction excessive des défenses immunitaires comme l’allergie au pollen. Atteignant la muqueuse nasale ce dernier devient un antigène forçant le métabolisme à produire des immunoglobulines. Or celles-ci sont des médiateurs d’inflammation. 

L’asthme plus particulièrement se définit comme l’inflammation intense des bronches et des bronchioles. Contrairement à d’autres traumas, il a divers causes : infection, allergènes, substance nocive. La personne souffrant de crise d’asthme a ainsi les voies respiratoires engorgées par un mucus visqueux, l’empêchant sa respiration normale.
Diverses pathologies des poumons ont pour cause le tabagisme. Le cancer en reste sa version la plus grave et la plus mortelle. 

Les huiles essentielles anti-inflammatoires du système respiratoire sont :  

• L’huile essentielle d’eucalyptus radié (contient du 1,8-cinéole). Elle est efficace contre le rhume, la bronchite et les allergies au pollen.
• L’huile essentielle de menthe poivrée (contient du menthol et aussi du 1,8-cinéole) qui dégage le nez obstrué et combat les infections des voies respiratoires.
• L’huile essentielle de pin sylvestre comprend un composant nommé l'alpha pinène et apaise l’asthme, le nez bouché. Elle combat aussi les infections touchant l’appareil respiratoire.

L'appareil circulatoire se constitue du cœur et des vaisseaux sanguins ou lymphatiques de l’organisme. Ces organes sont en charge de véhiculer le sang dans tous les organes du corps.

Les troubles entrainant des inflammations au niveau de l’appareil hiémal (sanguin) sont variés. Quelques maladies affectant le flux sanguin sont les conséquences d’infections comme l’endocardite : la bactérie détériore la couche de protection extérieure du cœur ou encore l’endocarde. Elles peuvent aussi provenir d’un mauvais fonctionnement du cœur tel que les rythmes irréguliers, les malformations des aortes... Les membres ne sont alors pas alimentés correctement par le sang et s'irritent à cause de la vasoconstriction. Dans d’autres cas, il s’agit de problèmes touchant directement les artères avec par exemple leur dilatation anormale comme la varice ou leur constriction comme la maladie de Raynaud. On évoquera aussi l’angine de la poitrine, corolaire de la défaillance coronaire au niveau de la cage thoracique. Dans tous les cas, une mauvaise circulation sanguine peut entrainer une dégénérescence de plusieurs organes. Cela signifie aussi un affaiblissement du système immunitaire. Les inflammations n’en seront que plus fréquentes et intenses, leur complication sévère.

Les huiles essentielles anti-inflammatoires des troubles de la circulation sanguine sont :

• L’huile essentielle de cyprès toujours vert, et ses sesquiterpènes, a la capacité de décongestionner les veines. Elle est utile pour traiter tous les troubles liés à la congestion veineuse comme la varice, les hémorroïdes ou la couperose.
• L’huile essentielle de menthe poivrée (contient du menthol et aussi du 1,8-cinéole). Ses molécules aident à réguler la circulation sanguine.
• L’huile essentielle de patchouli se compose en grande partie de sesquiterpènes. Elle est préconisée contre les problèmes de vasodilatation tels que les hémorroïdes, les varices et les jambes lourdes.
• L’huile essentielle d’ylang-ylang complète (contenant alcools et carbures monoterpéniques). Elle contribue à la régulation du rythme cardiaque et d la pression sanguine.
• L’huile essentielle de cèdre de l’atlas. Ses composés, les carbures sesquiterpéniques luttent contre les varices et les hémorroïdes.

On désignera par « parties intimes » les régions génitale et anale de la femme et de l’homme. Cela englobe l’anus, les fesses, le périnée, le pénis ou encore le vagin ainsi que les appareils internes les reliant au reste du corps. On note toutefois que la plupart des troubles intimes sont liés à la flore vaginale et concerne par conséquent les femmes en particulier, dont les irritations et les démangeaisons s’expliquent par plusieurs facteurs :

• Cela peut-être simplement le fait d’une hypersensibilité de la peau à un tissu ou un produit particulier. Par exemple : une serviette hygiénique. En outre, quand on parle de démangeaisons et inflammations, on évoque souvent les mycoses ou champignons parasitaires. Ceux-ci se multiplient à des proportions anormales sur la flore vaginale et créent un déséquilibre. Elles touchent 1 femme sur 14 en France. Leur prolifération entraine des irritations assez désagréables et des pertes vaginales anormales et abondantes. On a des situations où les irritations entraînent une sécheresse vaginale. Elles surviennent soit après une longue période sans rapport sexuel soit par une carence d’œstrogène.
• Les menstruations sont aussi source de brûlures et de douleurs quand elles arrivent en même temps qu’une infection utérine.
• Les infections ou maladies sexuellement transmissibles comptent dans la liste des causes les plus graves des inflammations en particulier chez les hommes. Celles-ci sont multiples en allant de la blennorragie aux hépatites et aux herpes. Ce n’est pas le virus ou la bactérie en soi qui est dangereux, mais souvent la réaction caustique de la défense immunitaire.
• Enfin, il arrive que les irritations cachent en fait une dermatose : eczéma (affectation cutanée) ou psoriasis (apparition de plaques rouges sur l’épiderme).

Les problèmes intimes ont quelques fois des impacts sur l’appétit sexuel. Le manque de libido affecte dans les mêmes proportions les deux sexes.

Les huiles anti-inflammatoires pour soulager les troubles intimes sont :

• L’huile essentielle de cannelle se compose de trans cinnamaldéhyde. Elle lutte contre la prolifération de mycose et les infections génitales.
• L’huile essentielle de sauge sclarée composée d’alcools monoterpéniques. Avec ses arbures sesquiterpéniques elle lutte contre les mycoses et les inflammations cutanées dans la zone génitale.
• L’huile essentielle d’Ylang-ylang complète (contenant alcools et carbures monoterpéniques) atténue la douleur pendant les règles mensuelles. Elle augmente aussi l’appétit sexuel.

La notion de bien-être ne connait pas de définition universelle. On le confond souvent avec le bonheur ou le confort. À vrai dire, cet état varie d’une personne à une autre. Toutefois, des problèmes ou des tracas affectant le bien-être sont communs à tout un chacun.

Les inflammations qu’importe la zone du corps concerné demeurent toujours désagréables. Chez certains individus, cela a des impacts psychologiques et même physiques. Les dermatoses comme la gale ou l’herpès sont particulièrement difficiles à vivre plongeant celui ou celle qui en souffre dans la dépression. Le prurit donne une envie de se gratter constamment entrainant l’insomnie ou le stress.

Parmi toutes les huiles inflammatoires citées dans cet article, voici quelques restrictions par public:

L’allergie est une réaction plus ou moins excessive du système immunitaire du corps face à l’invasion d’un allergène (pollen par exemple). Le test d’allergie est simplement un procédé consistant à identifier une substance allergène chez une personne.  

On utilise dans ce cas trois méthodes. :

• Le test d’allergie cutané : cela consiste en une inoculation d’une infime quantité de la substance présumée allergène sur l’épiderme. Si on observe une réaction dans les 24 heures qui suivent (gonflement, rougeur ou inflammation), le résultat est positif, la personne en est allergique. Il faut le refaire plusieurs fois pour en avoir la certitude. Inversement, si aucun effet sous 24 heures, elle pourra utiliser le produit sans crainte.
• Le test du timbre : une autre variété de tests cutanés suppose l'utilisation des timbres sur la peau durant une assez longue période allant que quelques heures à quelques jours. Ceux-ci sont enduits de la matière à tester.
• Le test sanguin : pour une analyse en profondeur, les médecins proposent parfois des tests sanguins. Le sang prélevé sera soumis à des tests en laboratoire. L’avantage de ce procédé reste la possibilité de confronter les cellules sanguines à des molécules bien précises.

Pour les cas suivants, avant l’usage des huiles essentielles, il est fortement recommandé de solliciter l’avis d’un médecin :

• Asthme 
• Cancer hormono-dépendant
• Mastose
• Fibrome
• Troubles cardiaques
• Épilepsie
• Trouble hormonal
• Trouble de la coagulation
• Vous avez été opéré dernièrement ou allez vous faire opérer prochainement
• Ulcère
• Hernie
• Hémorragie
• Phlébite

Si on devait remonter aux origines des toutes premières huiles essentielles et de l’aromathérapie, on arriverait en Égypte antique. Il y a plus de 4500 ans de cela, les bâtisseurs de pyramides se servaient de ces huiles pour embaumer et momifier leurs morts. Mais le véritable pionnier de l’aromathérapie et de l’utilisation des huiles essentielles telles qu’on le voit aujourd’hui est René  Maurice Gattefosé. Il a remis l’aromathérapie au gout du jour en février 1935 en publiant un ouvrage Aromathérapie — Les Huiles essentielles — hormones végétales

Les huiles essentielles sont en fait composées de principes actifs ayant quasiment les mêmes propriétés que ceux qu’on retrouve dans les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique. Sauf que les premières sont directement obtenues d’une plante. Les seconds sont issus de molécules de synthèse, étant elles-mêmes des copies du composé aromatique naturel. Il suffit de connaitre la méthode de création d’un médicament pour le comprendre. Dans un premier temps, on teste plusieurs substances sur une maladie ou un trauma. Si l’un d’eux est efficace, il sera reproduit synthétiquement et parfois combiné à d’autres composants. Avant d’être commercialisé, le médicament subit une longue série de tests afin de convenir aux nomes imposées.

• Mycose des pieds et de la peau avec les Huiles Essentielles
• Se débarasser de la sinusite avec les Huiles Essentielles
• Soulager la sciatique grâce aux Huiles Essentielles
• Traiter l'abcès dentaire avec les Huiles Essentielles
• Réduire l'hypertension grâce aux Huiles Essentielles

• Solutions anti-varices aux Huiles Essentielles
• Stopper les effets de la ménopause avec les Huiles Essentielles
• Coupe-faim naturel aux les Huiles Essentielles
• Réveiller les cheveux ternes grâce aux Huiles Essentielles
• Stop aux boutons de fièvre avec les Huiles Essentielles