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La pneumonie est une infection pulmonaire d’origine virale, bactérienne ou encore fongique. Elle est potentiellement mortelle. Selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé, il y a eu plus de 922 136 enfants de moins de 5 ans décédés à la suite d’une pneumonie en 2015.
La pneumonie est une pathologie fréquente au sein de la population d’Europe de l’Ouest. La mortalité varie entre 5 à 14 % des cas. Première cause de décès liée à une infection dans les pays développés, la pneumonie touche environ 500 000 mille personnes par an en France et serait responsable de plus de 16 000 décès annuels.
La pneumonie est une infection sévère qui touche particulièrement les alvéoles pulmonaires. Ces dernières sont de minces sacs creux qui prolongent les voies respiratoires. C’est dans cette partie que se déroulent les échanges gazeux avec le sang.
Selon les germes en cause, les pneumonies peuvent être bénignes ou graves. Dans cet article complet, vous saurez tout sur cette pathologie : la synergie aux huiles essentielles à utiliser, le mécanisme d’apparition et les déclencheurs, les symptômes et complications, les bons gestes à adopter et les pièges à éviter.
Olyaris vous dit tout !
Cette synergie est indiquée pour renforcer ses défenses immunitaires, elle ne doit aucunement remplacer votre traitement médical en cas de pneumonie avérée.
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Comment ça marche?
Public concerné :
Cas particuliers :
Dispositions spécifiques:
L’huile essentielle de Tea Tree est réputée pour ses propriétés antibactériennes. En effet, ses molécules participent à l'élimination des différents pathogènes responsables de la pneumonie.
Par ailleurs, cette huile essentielle permet aussi de stimuler les défenses immunitaires. En d’autres termes, elle aide l’organisme à lutter contre les différentes bactéries pathogènes.
Depuis toujours, l’huile essentielle de ravintsara est utilisée pour traiter les infections d’origine virale. Grâce à ses principes actifs, notamment le α-terpinéol, les différents désagréments de la sphère ORL se trouvent alors soulagés.
De plus, l’huile essentielle de ravintsara facilite l’élimination du mucus présent dans les alvéoles pulmonaires, ce qui améliore la respiration. Les molécules contenues dans cette huile essentielle agissent également sur la production de globules blancs renforçant la réponse immunitaire.
Cette huile est reconnue pour ses vertus contre les pathologies pulmonaires. En effet, la présence de 1,8 cinéole permet notamment de fluidifier le mucus, ce qui facilite son élimination.
Cette huile essentielle inhibe les récepteurs de la douleur et possède une action fébrifuge. Ainsi, la fièvre diminue et les douleurs associées également. Sa composition en limonène et beta caryophyllène lui confèrent de plus une action stimulante générale de l'organisme, une vrai arme anti-fatigue.
L’huile végétale de Pépins de raisin est pour ses vertus anti-âge, régénérante et séborégulatrice. Mais dans le cas présent, c'est son degré de pénétration dans la peau - l'un des plus élevé - qui est ici utile : elle va favoriser l'entrée des actifs dans l'organisme pour une efficacité plus forte, contrairement à d'autres huiles végétales dont la portée s'arrête à la couche cornée de la peau ou encore à l'épiderme (face externe).
Il existe différents types de pneumonie, en fonction du pathogène en cause. Les voici :
Il s’agit d’une pneumonie causée par la bactérie pneumoniae de Chlamydophila. Elle touche dans la majorité des cas des enfants ou des personnes avec un système immunitaire déficient.
C’est une pathologie causée par la bactérie Legionella pneumophila. Cette forme de pneumonie est potentiellement mortelle. Les symptômes se révèlent dans la majorité des cas trop tard.
Ce type de pneumonie est provoquée par les bactéries de mycoplasma pneumoniae. Il s’agit d’une forme plus douce de la pathologie. Les symptômes s’apparentent souvent à ceux de la grippe ou du rhume.
C’est une pneumonie causée par le pneumocoque, agent pathogène important chez l’homme causant environ 15 à 35 % des pneumonies dans le monde.
On peut également catégoriser les pneumonies selon le mode de transmission :
Lorsque l’on respire normalement, l’air circule en premier dans le nez, descend ensuite par la trachée et atteint les voies respiratoires comme les bronches. Ces dernières se subdivisent en bronchioles puis en petits sacs fragiles sous forme de grappe: les alvéoles. C’est dans ces dernières que l’échange entre le CO2 et l’O2 se déroule avec le sang.
Lorsqu'une infection survient et enflamme les poumons, les alvéoles se remplissent de pus et de liquide biologique. Cela va alors empêcher l’évacuation du dioxyde de carbone et l’assimilation de l’oxygène par l’organisme. On constate alors une détérioration générale de l’état de santé puisque la majorité des cellules de l'organisme ne dispose plus de l’oxygène nécessaire pour fonctionner. Précisions que l’oxygène permet de donner de l’énergie aux cellules, il s'agit ici d'un véritable carburant utilisé par les mitochondries des différentes cellules du corps.
La pneumonie touche les poumons de deux façons :
En ce qui concerne l’étiologie de la pneumonie, elle est assez complexe puisque cette pathologie peut avoir 30 causes différentes. Néanmoins, on peut subdiviser en 4 les origines des pneumonies : une cause bactérienne, une cause virale, une cause fongique (champignons), une cause venant de substances chimiques.
Il faut savoir qu’il y a une trentaine de bactéries, de virus, de champignons qui peuvent être responsables d’une pneumonie. Voici ici une liste non exhaustive des pathogènes pouvant la causer :
Certains produits ou poussières peuvent aussi causer une inflammation des poumons et causer une pneumonie :
Quelques facteurs à risque augmentent les chances de développer une pneumonie :
La pneumonie se manifeste le plus souvent par :
Une pneumonie qui n’est pas traitée dans les meilleures conditions peut se compliquer :
Votre pneumonie doit nécessairement être suivi par votre médecin. En complément du traitement prescrit, et de votre synergie aux huiles essentielles, voici quelques solutions naturelles d'accompagnement qui peuvent être très utiles :
Quelques réflexes sont à adopter si l’on souhaite accélérer le processus de guérison :
Il arrive que la pneumonie se complique à cause de certaines habitudes. Alors, pour éviter qu’elle ne s’aggrave, il est déconseillé de :
Voici quelques recommandations à savoir sur l’alimentation pour retrouver la santé :
En cas de pneumonie, il est déconseillé de faire de sport. En effet, les poumons sont en mauvais état et ne peuvent plus donner assez d’oxygène en cas d’effort physique. Mieux vaut donc se reposer pour éviter les éventuels problèmes.
Toutefois, il est possible de travailler sa respiration. Pour ce faire:
Il est tout à fait possible de prévenir la pneumonie. Pour cela, il est conseillé de :
Il y a quelques gestes à savoir pour éviter de transmettre la pneumonie :
On a découvert des traces de l’infection pneumonique déjà dans la civilisation grecque. Cette affection a toujours été présente dans l’histoire de l’Homme. Même aujourd’hui, il s’agit encore d’une préoccupation médicale importante puisque l’on compte en moyenne environ 1,5 million de décès à cause de la pneumonie tous les ans à travers le monde.
L’une des bactéries responsables de la pneumonie, le streptocoque pneumonie a été découvert en 1881 par le célèbre microbiologiste français Louis Pasteur et le scientifique américain George Sternberg. Ces chercheurs ont étudié la salive de lapin et ont pu isoler les bactéries oblongues de diplococci. Leurs études ont pu mettre en évidence le potentiel pathogène de ces bactéries. Ils comprennent alors qu’il s’agit d’un agent causal dans l’infection de pneumonie chez l’homme.
Entre les années 1800 à 1900, la pneumonie est la principale cause de décès due aux maladies infectieuses. De nombreux dirigeants considèrent la pneumonie comme une menace de santé publique.
Ce n’est qu’en 1913 qu’un traitement au sérum antipneumococcal est mis au point. Mais, malgré sa découverte, son efficacité est relative et son élaboration, lente et couteuse.
En 1930, le sulfapyridine est introduite pour combattre les pneumonies jusqu’à la découverte des antibiotiques dans les années 40. Toutefois, l’utilisation abusive d'antibiotiques permettent à certains germes de muter pour devenir résistants : c'est la biorésistance aux antibiotiques, très fréquentes en cas de pneumonie.
En 1977, un vaccin pneumococcal de polysaccharide est découvert, ce qui a permis de réduire considérablement le nombre de victimes. Néanmoins, ce vaccin n’est pas 100 % efficace.
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