Une huile essentielle antibactérienne est une huile essentielle dont les molécules combattent la prolifération des mauvaises bactéries dans l’organisme. Précisons « mauvaises bactéries » car toutes bactéries ne sont pas des agents pathogènes, certaines sont même indispensables à l’homme, comme par exemple les bactéries probiotiques qui sont essentielles pour la digestion.
Dans ce dossier complet, découvrez ce que recouvre exactement le terme «bactérie», sa pathogénicité, son mode opératoire ainsi que les dommages qu’elle peut causer sur le corps. Découvrez aussi en détail les huiles essentielles les plus fiables pour lutter contre les mauvaises bactéries.
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Une bactérie est un être vivant microscopique qui peut être unicellulaire ou encore pluricellulaire. Sa taille varie en fonction de l’espèce en question :entre 0,2 micromètre et 2 micromètres.
À ce jour, on recense plus de 10 000 espèces de bactéries. Cependant, selon les estimations des scientifiques, le nombre d’espèces existant sur terre oscillerait entre cinq et dix millions.
Les bactéries sont ubiquitaires, c’est-à-dire que l’on en trouve partout. En effet, elles sont présentes dans tous les types de biotopes terrestres. Elles peuvent s’adapter en milieu solide (sol), en milieu aquatique (rivières, mers, profondeurs océaniques), dans d’autres êtres vivants (biofilm, intestins des animaux). Les bactéries sont des êtres remarquables puisqu’elles peuvent subsister dans des milieux peu commodes comme les cheminées hydrothermales ou encore la banquise, on les qualifie alors d’extrémophiles.
Notre peau, notre bouche et nos yeux sont peuplés par des millions de bactéries. La majorité d’entre elles, fort heureusement, demeure inoffensive pour l’organisme. Néanmoins, certaines peuvent causer des maladies graves pour l’Homme, comme la peste, la tuberculose, le choléra ou encore la syphilis.
Il est à noter que certaines bactéries sont utiles à l’Homme. On les utilise dans le traitement des eaux usées, dans la fabrication du yaourt ou du fromage ainsi que dans la production industrielle de nombreux composés chimiques.
La morphologie des bactéries est variable. Elles peuvent se présenter sous la forme de :
Quant à la structure des bactéries, elle se divise en deux catégories dont les éléments constitutifs peuvent être :
La confusion est vite faite entre les huiles essentielles antibactériennes et les huiles essentielles antivirales. La première huile contient des molécules qui se focalisent sur l’élimination des bactéries pathogènes alors que la seconde possède des principes actifs qui entravent la prolifération des particules virales dans l’organisme.
Pour être un peu plus précis, l’huile essentielle antibactérienne combat les bactéries et l’huile essentielle antivirale lutte contre les virus. Un virus est différent d’une bactérie, le premier étant un microorganisme bien plus petit qu’une bactérie, il a besoin d’une cellule hôte pour se reproduire. Le second est un être vivant (cellule) qui peut se diviser sans forcément parasiter un autre organisme, il est autonome !
LES HUILES ESSENTIELLES PAR TYPE D’INFECTION BACTÉRIENNE
Les huiles essentielles sont indispensables pour apaiser les symptômes de certains troubles tels que :
Voyons ensemble une à une ces différentes catégories.
Étymologiquement, la peau vient du mot latin « Pellis » qui signifie membrane externe du corps. Il s’agit de l’organe le plus important en terme de volume et de poids du corps humain. Elle pèse jusqu’à plus de 10 kilos et demi pour un adulte de 75 kilos.
Elle constitue l’interface de l’organisme avec son environnement extérieur. Cela lui permet de protéger les autres organes des infections, des blessures ainsi que des rayons de soleil. Elle joue aussi un rôle de régulation thermique, car elle maintient le corps à une température stable.
La peau est constituée de trois couches extérieures à savoir :
La peau est souvent victime de diverses infections bactériennes dû au contact avec l’environnement extérieur. C’est le cas de l’abcès cutané. Ce dernier se présente comme une accumulation d’exsudat pathologique qui survient après un dommage des tissus cutanés. Dans la majorité des cas, les bactéries de la famille des Staphylocoques dorés (80 % des cas), des Streptocoques ou des Pneumocoques sont responsables des infections cutanées.
Les bactéries de la famille « Propionibacterium acnes » peuvent être responsables des boutons d’acné. Ces derniers infectent les follicules gavés de lipides, aboutissant évidemment à l’apparition de multitudes de boutons inesthétiques.
Voici les huiles essentielles les plus utiles pour lutter contre les bactéries cutanées :
La nourriture est le carburant du corps humain, car, elle apporte de nombreux nutriments (protéines, vitamines, sels minéraux, glucides) à l’organisme. Mais pour que l’aliment soit utilisable par les cellules, il a besoin d’une profonde transformation par le système digestif.
La digestion commence dans la bouche. Ce sont les dents, la salive et la langue qui participent à la mastication, transformant ainsi les aliments en bouillie. Lorsque l’on déglutit, cette bouillie alimentaire passe par l’œsophage et atterrit dans l’estomac. Cet organe produit des sucs digestifs (issus également du foie et du pancréas) afin de digérer les aliments. Ensuite, la bouillie passe dans les intestins qui vont distribuer les nutriments dans le corps. Quant aux déchets, ils seront évacués par les gros intestins. L’appareil digestif est un ensemble de 19 organes qui participent à ce processus plus ou moins long. Rien que ça !
Les affections et les maladies liées au système digestif sont à la fois nombreuses et variées. C’est le cas de la diarrhée qui peut être le signe d’une infection bactérienne (staphylocoques, salmonelle). En outre, des aliments peuvent être également contaminés par des pathogènes qui seront ainsi ingurgités dans le système digestif. Les bactéries s’y développent en provoquant des troubles plus ou moins importants.
Comme nous l’avons vu, la cavité buccale est la première étape de la digestion. Cette zone est propice au développement des bactéries dont certaines peuvent être dangereuses. Dans de nombreux cas, les pathogènes se développent sur l’émail des dents et peuvent causer l’abcès dentaire. Ce dernier est à l’origine d’une douleur vive, parfois accompagnée d’autres symptômes comme la fièvre ou encore un gonflement impressionnant. Sans traitement, l’abcès dentaire peut évoluer en fistule, risquant ainsi de propager l’infection dans tout le corps.
Voici les huiles essentielles à employer en cas d’infections bactériennes du système digestif :
Les os sont des éléments durs et rigides avec un fort taux de calcium et de phosphore. Ensemble, ils forment le squelette qui structure le corps des vertébrés.
L’être humain compte jusqu’à 206 os dans son squelette. Les tissus qui constituent l’os ne sont pas immuables, ils suivent un cycle de vie comme toutes les cellules vivantes. De ce fait, le squelette se renouvelle en permanence. Ce mécanisme est appelé «remodelage osseux ». Selon les estimations, il faut compter jusqu’à plus de 10 ans pour qu’il y ait renouvellement complet des cellules du squelette.
Il y a trois types d’os:
Les os jouent un rôle de charpente pour le corps. C’est grâce à eux que l’on peut supporter notre poids. De plus, certains os protègent également des organes importants comme le cerveau, le cœur et les poumons.
L’os est constitué de tissus vivants, à ce titre il peut aussi être victime d’infections bactériennes. Par exemple, une petite infection dentaire négligée peut vite dégénérer. En effet, les germes peuvent atteindre les os et provoquer des dégâts irréversibles. On parle alors d’ostéomyélite.
En ce qui concerne l’articulation, il s’agit de l’espace entre deux extrémités osseuses. Elle peut être de différentes natures : cartilagineuse, synoviale ou fibreuse. On dénombre jusqu’à plus de 400 articulations dans le corps humain. Comme les os, les articulations peuvent aussi être victimes d’infections bactériennes. Les germes se diffusent par la circulation sanguine et se fixent sur les tissus articulaires, causant alors des douleurs, un gonflement impressionnant et mais également de la fièvre. L’articulation assure une mobilité entre les os.
L’organe responsable du mouvement est le muscle. Il est composé de tissus mous qui contiennent des filaments protéiques, d’actine et de myosine. C’est grâce à ces protéines que la contraction est possible. Durant ce processus, les fibres musculaires peuvent modifier leur longueur et leur volume, produisant alors de la force et du mouvement.
Les muscles peuvent être également victimes d’une infection bactérienne. On peut prendre l’exemple de la myocardite qui est une inflammation du myocarde. Elle est souvent bénigne, mais nécessite une hospitalisation pour prévenir les risques de complications. Il s’agit d’un trouble multifactoriel, car, elle peut être provoquée par une infection virale (Virus influenzae, VHS, VIH), une infection bactérienne (Mycobacterium tuberculosis, Borrelia burgdorferi, Mycoplasma pneumoniae).
Beaucoup d’infections bactériennes ont une incidence sur la sphère ostéo-musculaires. Certaines de nos synergies permettent de calmer certains symptômes :
L’adage populaire qui affirme que « le froid est bon pour la santé et mauvais pour les microbes » est inexact. De nombreuses souches de bactéries sont résistantes à des températures extrêmes. Ces êtres microscopiques disposent de tous les moyens nécessaires pour sévir durant la période hivernale.
On peut classer les bactéries suivant leurs préférences thermiques :
En cas de température négative, les bactéries stoppent leurs activités et se mettent en sommeil (hybernation). Cependant, elles recommencent à se multiplier dès que la température est plus confortable.
De nombreuses études ont également confirmé que le manque d’activité physique et le manque d’alimentation saine en hiver baisseraient considérablement nos défenses immunitaires. Aussi, on est plus enclin aux infections virales ou bactériennes à cette période. On souffre le plus souvent de fièvre (élévation anormale de la température corporelle) qui n’est autre que le signe d’un dysfonctionnement du métabolisme (infection).
Une maladie qui est en recrudescence en hiver est la laryngite qui se traduit par l’inflammation du larynx. Elle est souvent due à une bactérie que l’on appelle bacille de Pfeiffer. Cette dernière s’introduit dans l’organisme et attaque sans tarder les tissus du larynx, causant ainsi un gonflement et une altération de la voix.
Voici une liste des huiles essentielles les plus utilies pour atténuer les symptômes des maladies d’hiver :
Le système respiratoire est un ensemble d’organes participant à la respiration, à la ventilation (mécanisme automatique indépendant de la volonté) et à l’hématose (processus par lequel le sang veineux (gaz carbonique) est transformé en sang artériel (oxygène).
L’appareil respiratoire comprend les voies respiratoires (fosses nasales, cavité buccale, pharynx, larynx, trachée bouche), les poumons, la plèvre et le thorax (nerfs, muscles, cage osseuse). Il joue un rôle capital dans le fonctionnement de l’organisme. En effet, il permet d’apporter de l’oxygène aux cellules et d’évacuer le gaz carbonique produit par les tissus.
La ventilation se compose en deux temps :
Les organes responsables de la respiration sont en contact permanent avec l’environnement extérieur. L’air inspiré peut transporter de nombreux agents infectieux comme des virus et des bactéries. Aussi, il est assez fréquent que le système respiratoire soit victime d’infections plus ou moins graves.
On peut prendre l’exemple de la bronchite. il s’agit d’une affection répandue puisqu’elle touche 1/5 des hommes de plus de 40 ans. Les bactéries s’infiltrent dans les bronches, produisent ensuite des substances qui détruisent les cellules, provoquant ainsi une inflammation des bronches (bronchite). Si cette pathologie n’est pas traitée dans les meilleures conditions, elle peut se compliquer en pneumonie qui est nettement plus grave.
Les huiles essentielles constituent une solution à ne pas minimiser pour contrecarrer les infections bactériennes du système respiratoire. Voici alors une liste des huiles les plus utilies dans ce type de cas :
Le système circulatoire est composé d’une pompe (le cœur), d’un liquide circulant (le sang) et d’un circuit composé de vaisseaux sanguins. Ce système permet la distribution de l’oxygène et de nutriments vers les différents organes.
Le système circulatoire joue plusieurs rôles importants comme :
Les agents pathogènes comme les bactéries utilisent le système circulatoire pour se répandre dans l’organisme. On parle alors de sepsis ou encore de septicémie. Il s’agit d’une infection grave qui représente une urgence médicale. Elle est souvent provoquée par des bactéries. Ces dernières utilisent la voie sanguine pour créer de nouveaux foyers infectieux secondaires dans l’organisme.
Le cœur peut être victime d’une infection bactérienne. On parle alors de l’endocardite qui est une infection rare, mais potentiellement mortelle. Tout simplement parce qu’elle perturbe la circulation sanguine et peut provoquer une insuffisance cardiaque. Bien que le cœur soit difficile à atteindre pour les bactéries, ces dernières peuvent entrer dans l’organisme via plusieurs moyens (bouche, infection cutanée, intrusion de dispositifs médicaux)
Même si l’hypertension et l’hypotension ne sont pas des troubles liés directement avec une infection bactérienne. Elles doivent être prises en charge, car elles peuvent se compliquer et entraîner des maladies plus graves.
Découvrez nos synergies pour favoriser une pression artérielle convenable favorisant le système immunitaire (transport efficace des cellules immunitaires et des anticorps) – en complément de votre disposition médical.
On appelle « parties intimes » les régions génitales et anales de la femme et de l’homme, constituées par l’anus, les fesses, le pénis, le vagin et le périnée.
Cette zone est formée de plusieurs orifices naturels. Ces derniers sont tapissés de mucus qui sont favorables au développement de certaines bactéries (potentiellement pathogènes). En cas de déficit du système immunitaire, les bactéries en profitent pour infecter les parties intimes, engendrant ainsi des démangeaisons, des irritations ainsi que des odeurs prononcées.
Néanmoins, certaines irritations peuvent avoir d’autres origines comme l’hypersensibilité de la peau à un tissu ou encore à un produit en particulier (gel intime). Sur ce point, l’utilisation des soins spécifiques tel que les savons intimes peut créer un déséquilibre de la flore vaginale. Cela provoque évidemment la prolifération de pathogènes responsables de pertes vaginales anormales et d’irritations désagréables. Fort heureusement certaines huiles essentielles peuvent venir en aide et soulager ces symptômes.
Pires, les troubles causés par les bactéries dans les parties intimes peuvent entraîner une baisse de libido chez l’homme et la femme. Aussi, voici quelques huiles essentielles qui stimulent la libido :
Les bactéries sont des êtres vivants qui évoluent et qui s’adaptent continuellement. C’est pour cette raison que les maladies qu’elles provoquent ne sont pas toujours évidentes à soigner. Il n’est pas rare de voir des traitements qui s’étalent dans le temps, allant de plusieurs semaines à plusieurs années. Ce type de situations impacte évidemment l’état psychologique et peut aggraver énormément la qualité de vie. L’incidence sur le bien-être peut revêtir diverses formes comme :
Les huiles essentielles constituent une aide pour faire face à ce type de cas.
Les huiles essentielles contiennent des molécules puissantes qui nous aident à faire face aux troubles du quotidien. Cependant, leur utilisation doit respecter certaines conditions. Par exemple, elles sont proscrites pour une catégorie de personnes (nouveau-né et enfants de moins de trois ans, femmes enceintes et allaitantes et d’autres cas spécifiques).
Parmi les huiles citées dans cet article, voici les interdictions par public :
De nombreuses huiles essentielles antibactériennes se composent de principes actifs qui peuvent déclencher une allergie. Cette dernière est une réaction anormale de l’organisme en cas d’absorption de substances étrangères (qui sont normalement inoffensives). Cependant, le système immunitaire de certaines personnes les considère comme une menace. On peut donc considérer ce phénomène comme une forme d’hypersensibilité.
Les réactions se manifestent souvent par des symptômes respiratoires (éternuements), cutanés (urticaire) ou généralisés (anaphylaxie). Il s’agit d’un trouble assez répandu puisqu’un français sur trois serait allergique à des allergènes.
Les différentes techniques pour le test d’allergie.
Il existe plusieurs méthodes pour savoir si l’on est allergique à une huile essentielle :
Les huiles essentielles sont parfois incompatibles avec quelques maladies. Il est fortement recommandé de consulter un médecin en cas de :
Pour connaître l’histoire de la bactérie, il faut remonter à l’origine de la Terre. Effectivement, ce microorganisme apparait il y a bien deux milliards d’années. À cette époque, la planète est encore hostile à la forme de vie que l’on connaît, car même l’oxygène n’existait qu’à une forme combinée. Seules les bactéries survivent dans ce milieu extrême. Pour y arriver, elles ne respirent pas encore de l’oxygène, mais du nitrate et de sulfate. Certaines d’entre elles peuvent déjà procéder à la photosynthèse. Mais au lieu de libérer de l’oxygène, elles émettent de l’hydrogène.
Avec le temps, les bactéries que l’on appelle cyanobactéries évoluent. En hydrolysant l’eau, elles finissent par libérer de l’oxygène tout en veillant à se protéger des dérivés toxiques. C’est grâce à cette respiration que sont ensuite apparus les eucaryotes, des organismes pluricellulaires ou unicellulaires, puis des chloroplastes, des organes cellulaires des végétaux, capables de dégager de l’oxygène. L’évolution des bactéries continue, ce qui donne naissance aux plantes et aux êtres humains.
Le néerlandais Antoine Van Leeuwenhoek découvre les bactéries pour la première fois. C’est en 1668 que ce savant les observe grâce à son microscope. En raison de leur forme, il nomme les bactéries « animalcules ». Il n’est pas le seul scientifique à s’intéresser à ces organismes microscopiques. C’est au tour de Louis Pasteur, un physicien et chimiste né au Jura de découvrir que les bactéries appelées « microbes » peuvent être à l’origine de la fermentation. Il remarque aussi qu’elles sont responsables de certaines maladies infectieuses. C’est la raison pour laquelle, il pense créer des moyens de les neutraliser à travers la pasteurisation ou encore l’autoclave.
Le médecin allemand Robert Koch focalise ses études à l’analyse des bactéries pathogènes, d’où son intérêt sur le choléra, la maladie du charbon et à la tuberculose. À l’issue de ses recherches, il conclut que les bactéries peuvent être à l’origine de maladies mortelles. Ces travaux lui ont même permis d’obtenir un prix Nobel de médecine en 1905.
Ce n’est qu’en 1908 que les scientifiques, tels que Paul Ehrlich, proposent des traitements contre la prolifération des bactéries. À cette époque, il centre son expérience au traitement de la syphilis, lui permettant également d’obtenir un prix Nobel en immunologie en 1908.
En 1926, les travaux de Thomas Rivers calme les controverses : ses travaux distinguent les bactéries des virus. C’est alors que naissent deux domaines bien distincts : la bactériologie et la virologie.
Actuellement, les études sur les bactéries continuent toujours, le sujet étant inépuisable. Un phénomène inquiétant est plus que brulant : les bactéries deviennent résistantes aux traitements. Pour preuve, un rapport du Dr Jean Carlet concernant les antibiotiques évoque un chiffre accablant : 160 000 patients sont atteints d’infections. Celles-ci sont causées par des bactéries multirésistantes aux traitements, notamment aux antibiotiques. Pires, 12 500 d’entre eux n’ont pas survécu. Cela pour dire que les bactéries peuvent être une source de vie, mais elles peuvent également une cause de mort. Restons vigilants !