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Par définition, la boulimie se définit comme un besoin compulsif de manger. Il s’agit d’une pathologie qui est souvent assortie de troubles psychiques. On l’oppose souvent à l’anorexie. Ce trouble du comportement alimentaire touche plus les filles que les garçons, avec une grande majorité de moins de 20 ans.

Plus précisément, la boulimie est le fait de manger une importante quantité de nourriture en un court délai. Plus encore, elle ne peut pas se contrôler. Le sujet est par conséquent très lié à la sphère psychologique d'autant plus que le comportement boulimique compense cette absorption par la prise de médicaments et l’utilisation de produits diurétiques ou laxatifs.

L’hyperphagie boulimique est, quant à elle, le cas d’un boulimique qui ne compense pas sa prise de poids. Il devient donc à la longue de plus en plus enveloppé voire obèse. Cette forme touche principalement les adultes.

Pour atténuer naturellement ce trouble alimentaire et du comportement, mélangez dans votre fiole les huiles essentielles suivantes :

• 2 ml d'Huile Essentielle d'Écorce de Cannelle
• 5 ml d'Huile Essentielle de Géranium
• 5 ml d'Huile Essentielle de Citron
• 2,5 ml d'Huile Essentielle d'Angélique
• Comprimés neutres

Votre synergie est fin prête pour utilisation !

Comment ça marche ?

• Placez 2 gouttes de cette synergie sur un comprimé neutre.
• Laissez ce comprimé absorber pendant 1 minute la synergie
• Mettez en bouche et laissez fondre totalement sans croquer
• A réaliser matin et soir ou au moment d'une irresistible envie soudaine de sucre
• Effectuer une pause de 7 jours toutes les 3 semaines d'utilisation.

Précautions d'emploi :

• Cette synergie est recommandée aux adultes et aux enfants de plus de 6 ans.
• Elle est déconseillée aux femmes enceintes et allaitantes ainsi qu’aux enfants de moins de 6 ans.
• Un avis de votre médecin est requis pour les cas d’asthmes, épilepsie et de traitement anticoagulant. Dans les cas de cancer hormono-dépendants, de mastoses et de fibromes, cette synergie vous est strictement déconseillée.
• Attention, il est conseillé aux personnes allergiques de réaliser un test sur le creux du coude et d'attendre 48h. S’il n’y a aucune réaction, vous pouvez utiliser la composition en toute sérénité.

L’Huile essentielle de géranium est surtout recommandée ici pour sa capacité à maintenir en équilibre le taux de glycémie dans le sang. Ses principes actifs vont aider le boulimique à calmer son besoin de manger, notamment des aliments sucrés.

L'huile essentielle de Cannelle a la propriété de couper la muqueuse olfactive. En d'autres termes, elle appuie sur le bouton "pause" de votre odorat, perdant ainsi le possible plaisir à trouver dans les aliments !

De plus, ses molécules agissent rapidement sur le cerveau limbique, responsable des comportements, des émotions et du plaisir. Ses principes actifs ont pour effet de limiter la production de certaines hormones empêchant ainsi les envies de manger (dont le sucre notamment). On constate aussi une nette diminution de la sensation de faim.

L’huile essentielle de citron possède de très nombreux composés aromatiques, dont la vitamine P-Like, nécessaire pour calmer le système nerveux. Cette huile est excellente pour créer l'illusion d'un effet coupe-faim sur le cerveau. De plus, sa composition unique permet d'apporter à l'organisme un effet régulateur du comportement que l'huile essentielle d'Angélique viendra compléter par son action plus complète.

Lorsque le corps éprouve un manque (alimentaire, sucre, drogue, tabac ou alcool), certains symptômes commencent à apparaître : palpitations cardiaques, sueurs, pression artérielle croissante, tension nerveuse ou encore une crispation globale. Sa composition unique en alpha-pinène, delta-3-carène, sabinène ...) permet une réelle action sur le système nerveux inhibant les messages de manque envoyés au cerveau.
Ce dernier ne les perçoit alors plus comme tels et le système nerveux est alors tranquillisé.

Il existe différents types de boulimie, 3 au total:

• La boulimie avec compensation : La personne qui en souffre provoque donc volontairement le vomissement et utilise des laxatifs pour se purger l’appareil digestif. Ou alors elle s’entraîne vers un excès d’exercice physique et de jeune. Elle tente donc de maintenir son indice de masse corporel en pratiquant du sport à l’excès et en évitant de manger pendant les périodes hors crises.

• L’hyperphagie boulimique : Le boulimique ne fait rien pour compenser l'excès d'aliments ingérés. Son IMC est donc déséquilibré et largement supérieur à la moyenne entrainant à terme une obésité.

• Les troubles anorexiques : aussi appelée l’anorexie boulimique. La personne anorexique est donc sujette à des crises de boulimie.

La boulimie peut avoir de multiples causes mais est avant tout la résultante de composantes psycho-physico-émotionnelles propres à chaque individu. Mais dans tous les cas, le mécanisme reste le même :

• Facteur déclencheur

D’abord, il y a le facteur déclencheur : Il crée un mal-être grave et plonge la personne dans un état de fragilité psychologique et émotionnelle. Et s’ensuit une perte de confiance en soi profonde. Le malade commence à jeûner ou à s’imposer un régime drastique. Or, cela contribue à renforcer la faim. Dans certains cas le boulimique devient hyperactif.

• Tentative de combler le vide

Il y a donc une tentative de combler un certain vide chez le boulimique. Voilà pourquoi il se met à « manger » sans en avoir réellement envie. La personne s’en aperçoit alors qu’elle commence à grossir. Elle se force donc à jeûner ou à vomir. Or, le vide ici n’est pas comblé. Elle recommence donc à manger même sans appétit. Elle n’y trouve aucune sorte de plaisir. Cela devient un cercle vicieux qui plonge de plus en plus le boulimique dans la dépression et la perte d’estime de soi.

Le ou les facteurs déclencheurs de la boulimie sont divers et sont propres à chaque individu. Mais on peut les classer en trois catégories :

• Le facteur socioculturel : Cela touche surtout les femmes dans les pays occidentaux. Dans la famille ou dans la société, on exige beaucoup de choses des femmes. La pression sur leurs épaules est grande, elles perdent de la valeur en faisant ou en ne faisant pas telle ou telle chose. L'image de la femme dans les magazines, à la télévision, dans les clips vidéos, dans les défilés de mode des grandes marques jouent grandement sur l'image que l'on renvoit de soi-même. Des sentiments négatifs extrêmement profonds de ce conditionnement créé par le système entravent l'image et l'amour de soi. Rejet de soi, l’obsession du poids et régime alimentaire émergent.

• Facteur génétique et psychologique : La plus grande majorité des personnes atteintes de boulimie ou de trouble alimentaire possèdent des traits de la personnalité particulière. Ce sont surtout chez les personnes perfectionnistes, bipolaires, dépressives ou celles qui ont besoin de tout contrôler, que la boulimie apparaît. Cela vaut aussi pour ceux ou celles qui n’ont que peu d’estime de soi.

• Facteur environnemental : Ce trouble est aussi parfois le résultat d'une situation fâcheuse vécu par l'individu. Tel est le cas par exemple de la maltraitance ou d’une longue période de stress. Cela entraîne un déséquilibre métabolique et neurologique et donc altère la production de sérotonine par le corps. Cette hormone régularise en effet l’appétit et l’humeur.

La boulimie, qu’importe sa cause, se manifeste par :

• L’absorption de nourriture à l’excès, qui caractérise une crise. Celle-ci se répète au moins 3 fois par semaine
• L’excès d’utilisation de produits laxatifs ou diurétiques
• La prise de poids avec un IMC anormal
• Des vomissements provoqués
• Une certaine manie au contrôle et au calcule des calories
• L’usage abusif de la balance
• L’angoisse provoquée par le changement de silhouette
• La dépression et la tristesse

Cette forme de dysorexie, si on n’y remédie pas, peut également se compliquer :

• En hypokaliémie : C’est-à-dire une baisse brutale du taux de potassium dans le sang. Cet électrolyte essentiel joue un rôle dans le bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. En carence, il entraîne aussi des arythmies cardiaques, qui aboutissent au décès de la personne.
• En insuffisance rénale : Cela vient de la prise excessive de produits diurétiques ou laxatifs qui met à rude épreuve les reins.

• En œsophagite ou en une détérioration de l’appareil digestif : Les vomissements provoqués et donc les sucs gastriques détériorent aussi l’estomac, l’œsophage et les dents (l’émail dentaire). Dans le cas de l’œsophagite, celle-ci peut vite se compliquer en hémorragie interne ou en anémie.

• Des irrégularités au niveau des règles menstruelles : Des troubles hormonaux entraînent quelques fois des troubles de la menstruation. Mais contrairement à l’anorexie, la boulimie n’entraîne pas l’arrêt des règles.

• La dépression : Le sentiment de perte de contrôle plonge le boulimique vers une dépression profonde. Pire encore, il peut devenir suicidaire à la longue.

La synergie d'huile essentielle aide grandement le malade dans sa démarche de façon naturelle. Pour l'aider à espacer les crises ou à les dissiper, il existe d'autres solutions, en attendant de recevoir le pack :

• La graine de guarana : Elle provient d’un arbre qui pousse uniquement en Amazonie. Cette graine contient une importante quantité de caféine. Elle est aussi un puissant antidépresseur et psychostimulant. On la recommande pour les perturbations psychoémotionnelles. Il est préférable de se limiter à 4 g par jour maximum.
• L’hypnose : Plus précisément, la technique Ericksonnienne consiste à hypnotiser le boulimique pour changer sa perception de lui-même. Mais pour cela, il faudra consulter un spécialiste en la matière, idéalement par recommandation de son entourage.

• La psychothérapie de groupe : Cela s’apparente au concept des « alcooliques anonymes ». La personne atteinte de boulimie pourra alors s’ouvrir et partager son mal. C’est une solution très efficace pour sortir peu à peu de l’isolement et de la dépression.

• L’autosuggestion : Cela suppose que le boulimique reconnaisse qu’il a un problème. Il pourra alors se persuader lui-même de son pouvoir de se sortir de cette situation. La consultation d’un professionnel est vivement recommandée.

Créer de bonnes habitudes contribue grandement au combat contre la boulimie. Durant les périodes de crise, il est conseillé de :

• Rétablir peu à peu son rythme biologique : on parle ici de chronobiologie. Le boulimique doit s’efforcer donc à manger et à dormir à des heures régulières. Cela lui redonne une certaine stabilité et un contrôle de soi. Cela aura un impact positif sur son mental.

• Parler de ses échecs : Partager ses insuccès et ses ressentiments à un ami ou un proche évite que l’on sombre dans la dépression. Cela va permettre de voir d’un œil plus objectif les erreurs que l’on commet et d’y remédier calmement.

• Apprendre à vivre ses émotions : y faire face grâce à la méditation, il est recommandé dans ce cas de pratiquer ce que l’on appelle « la pleine conscience ». Avec la méditation, on apprend à accepter les pensées, aussi pénibles soient-elles. Bien sûr cela s’apprend. Le but est de revoir avec bienveillance et objectivité les évènements physiques et mentaux présents. On évite dans ce cas tout jugement.

• Se créer une passion : ce qui permet de redécouvrir les joies de la vie et de se réconcilier avec cette dernière. C’est aussi un bon moyen de combler le vide que l’on tente de combler avec les addictions alimentaires.

• Apprécier ses aliments : Il est intéressant aussi de combattre la boulimie en se réconciliant avec les aliments et leur goût. La nourriture est un allié de la bonne santé. Il est tout à fait normal de prendre du plaisir à manger.

À l’inverse, il vaut mieux éviter certains pièges quand on traverse une période de crise de boulimie. On ne doit donc pas :

• S’imposer des restrictions alimentaires : La privation totale de tel ou tel aliment ne fait qu’empirer la crise. À la longue, cela peut créer une crise d'intensité plus forte.

• Suivre un régime : Cela donne une illusion de contrôle. Mais une fois qu’on n’arrive pas à le respecter cela aura des retombées psychologiques plus graves à cause de la culpabilité.

• Sauter un repas : Cela entraîne un déséquilibre chronobiologie. Planifier à l'avance ses repas selon ses envies peut grandement aider. Manger doit rester avant tout un plaisir.

• Se peser tout le temps : C’est inutile sauf à accroître le sentiment de rejet de soi. À bannir !

Manger sainement reste un des bons moyens pour sortir de la crise de boulimie. Mais le boulimique est souvent une personne qui surveille scrupuleusement ce qu’il mange. Le tout est de privilégier les aliments avec un indice glycémique assez bas pour éviter d’atteindre trop rapidement le pic glycémique.  

• Mieux vaut ne pas être trop strict. Aucun aliment n’est réellement interdit. Au contraire. Quelques fois, il est tout à fait bénéfique d’enfreindre un peu les règles et de déguster de la nourriture « moins saine ». 

• On privilégie les fruits, les féculents et les légumes : Ils sont faciles à digérer et maintiennent le taux glycémique en équilibre. Ils n’accentuent pas le besoin compulsif de manger.  

• On évite les produits industrialisés et transformés : Ils sont souvent difficiles à digérer. Néanmoins, un petit écart de temps en temps ne fera pas de mal.
• Quant au sucre: on le préfère non raffiné  ! Ou ses nombreuses alternatives telles que la stévia, le miel ...

Le boulimique tente parfois de compenser son addiction alimentaire par des activités physiques intensives. Le sport peut l’aider à se sortir des crises mais il peut aussi l’entraîner dans une autre : la boulimie sportive. En effet, la peur de grossir à nouveau s’installe en lui et lorsqu’il ne pratique pas son sport de prédilection, il succombe à la frustration. D’où un nouveau cercle vicieux. Mieux vaut trouver une activité qui travaille à la fois le mental et le physique :

• Le yoga : Cette discipline venant d’Inde permet de travailler à la fois le physique et le mental. Il consiste à adopter des positions spécifiques nécessitant beaucoup d’entraînement. Le Yoga apporte de nombreux bénéfices au corps. Il favorise la bonne circulation du sang, ce qui combat le stress et améliore la concentration. Il redonne aussi confiance en soi. Il atténue donc les effets et les causes de la boulimie.

Les crises boulimiques sont assez imprévisibles. Il est souvent difficile de les prévenir. Le meilleur moyen pour éviter qu’elles apparaissent reste toujours :

• La consultation d’un psychologue ou d’un psychiatre dès la première manifestation
• D’éviter d’inculquer à l’enfant ou à l’adolescent des idées erronées à propos du poids
• De booster la confiance en soi de l’adolescent ou de l’enfant. On lui apprend également à se donner de l’estime
• De manger en famille en installant une ambiance conviviale

• Mycose des pieds et de la peau avec les Huiles Essentielles
• Se débarasser de la sinusite avec les Huiles Essentielles
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• Stopper les effets de la ménopause avec les Huiles Essentielles
• Coupe-faim naturel aux les Huiles Essentielles
• Réveiller les cheveux ternes grâce aux Huiles Essentielles
• Stop aux boutons de fièvre avec les Huiles Essentielles

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