Depuis la préhistoire, l’Homme consommait déjà des plantes hallucinogènes. D’ailleurs, selon les archéologues, la notion de Dieu aurait fait son apparition à la suite de la consommation des substances psychotropes.
Ainsi, la prise de ces « drogues » générant du bien être psychique et physique reste courant dans l’histoire de l’humanité. Déjà, la culture du pavot à opium était par exemple connu en Mésopotamie 4000 ans av. J.-C.
De nos jours, la consommation de drogue prend une allure inquiétante surtout chez les jeunes. Ici, la notion de « drogue » se définit comme un composé chimique ou bio chimique capable d’altérer les activités neuronales.
Selon une enquête récente menée par la fédération Alcool Assistance, les jeunes Français entre 16 et 30 ans sont les premiers consommateurs de cannabis en Europe. Il est encore plus alarmant lorsque le niveau de consommation arrive au stade de la dépendance.
Sur ce point, il y a la dépendance à la drogue lorsqu’un individu ne peut plus se passer de consommer un produit ou une substance sans qu’il n’éprouve de souffrance psychologique ou physique. Sa vie se résout à rechercher en permanence le produit pour en consommer davantage.
À noter qu’il y a une légère nuance entre dépendance et addiction à la drogue. La dépendance est installée lorsque la personne souffre de sevrage à l’arrêt soudain de la consommation. La souffrance passe une fois la prise terminée. L’addiction est installée lorsque la personne consomme un produit de manière excessive en ignorant complètement les conséquences.
Olyaris vous propose un dossier spécial sur la question. Découvrez le phénomène de dépendance, les huiles essentielles à utiliser pour réduire le risque de rechute, les mécanismes propre à l’addiction, la typologie des drogues, les principales drogues en France, les pièges à éviter et les réflexes à adopter.
Olyaris vous dit tout !
La dépendance à la drogue est particulièrement difficile à combattre surtout dans les sociétés évoluées dans lesquelles stress, tentations et abondance sont présents. Dans ces conditions, un soutien fort par une synergie d'huile essentielle est recommandée. Pour ce faire, remplissez votre fiole fournie dans le pack avec le mélange d'huile essentielle et végétale comme indiqué ci-dessous :
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Comment ça marche :
Application cutanée : appliquez x gouttes de la synergie au
À réaliser Xx/ jour sur x semaines puis x jours de pause et ainsi de suite.
Les précautions
L’huile essentielle de gingembre possède de nombreuses vertus thérapeutiques. Contrairement au cannabis ou chanvre indien qui peuvent provoquer des crises d’angoisse sous l’action de certains cannabinoïdes, le gingembre réduit jusqu’à éliminer ce phénomène désagréable. Les sesquiterpènes sont abondants dans cette huile et agissent sur le système nerveux central : il s’agit en effet de molécules actives aux propriétés relaxantes, antalgiques et sédatives.
Utilisation de l’huile essentielle de gingembre :
Application externe cutanée : Verser une goutte d’huile de gingembre dans de l’huile végétale. Appliquer sur le dos et la poitrine et effectuer un massage.
Voie orale : Verser deux gouttes d’huile essentielle dans une tasse de thé ou de tisane.
Inhalation :
Précaution d’emploi :
L’utilisation d’huile essentielle de gingembre n’est pas préconisée pour :
L’huile essentielle d’angélique possède des molécules actives qui stimulent la digestion, elles permettent à l’organisme de retrouver l’équilibre et enfin apportent du bien être par ses vertus calmantes et sédatives. La prise de cette huile essentielle réduit l'obsession mentale envers la drogue.
Utilisation de l’huile essentielle d’angélique :
Application cutanée par voie externe : (bain, massage) Hypertension artérielle, infection cutanée, peau sèche, syndrome prémenstruel, troubles circulatoires, troubles digestifs
Voie interne (orale, rectale, vaginale) : Infection bactérienne, infection virale, troubles digestifs
Voie respiratoire (diffusion, inhalation, olfaction) : Anxiété, fatigue, manque d’appétit, stress troublent du sommeil
Précaution d’emploi :
L’utilisation d’huile essentielle de gingembre n’est pas recommandée pour :
L’huile essentielle d’eucalyptus radiata figure parmi les remèdes naturels pour lutter contre l’envie excessive et traite les infections respiratoires.
Outre le fait que l’huile essentielle d’eucalyptus radiata est utilisée pour traiter la dépendance à la drogue, elle est également employée pour traiter certaines maladies liées à la prise de drogue comme les rhumes, les sinusites, les toux grasses, les douleurs musculaires, les douleurs articulaires, les troubles respiratoires comme la broncho-pneumopathie obstructive.
Utilisation de l’huile essentielle d’eucalyptus :
Elle peut être utilisée par inhalation, par voie cutanée externe (massage ou bain), par voie interne.
Précaution d’emploi :
L’utilisation d’huile essentielle de gingembre n’est pas préconisée pour :
L'huile essentielle de Santal blanc contient des composants actifs contenus dans l’arbre du Santalum Album ou plus simplement le bois de Santal blanc. La substance sesquiterpénique de type alcool entraîne un effet positif de stimulation cardiaque et d’hypertenseur léger. Ce qui entraine à son tour, le rétrécissement des vaisseaux sanguins à leur état normal. Par ricochet, elle provoque la décongestion du tissu sanguin pour éviter l'accumulation qui peut se terminer par une obstruction ou un arrêt cardiaque.
Utilisation de l’huile essentielle de santal blanc :
Application cutanée par voie externe: (bain, massage) : elle peut être employée en solo, mélangée ou diluée.
Voie interne (orale, rectale, vaginale) : un à deux goute par jour suffit, à accompagner avec une tisane ou du thé.
Voie respiratoire (diffusion, inhalation, olfaction) : l’inhalation humide est le mieux conseillée. Il agit directement sur le cerveau et les organes respiratoires.
Précautions d’emploi :
L’utilisation d’huile essentielle de gingembre n’est pas conseillée pour :
Le principe actif responsable du phénomène de dépendance s’appelle la « dopamine ». Il s’agit d’une molécule biochimique dont la fonction des neurotransmetteurs agit directement sur le comportement. Bien évidemment, la dopamine est introduite dans l’organisme après la consommation de drogue. Il agit sur le cerveau et provoque une sensation de plaisir. En parallèle, le cerveau fabrique l’endorphine qui procure à l’individu un sentiment de bien-être.
Dans le cadre de la dépendance de drogue, c’est cette sensation de plaisir qui pousse l’individu à vouloir chercher et consommer davantage de substance. À terme, le cerveau n’arrive plus à satisfaire les besoins du dépendant pour créer cette sensation. La drogue en plus grande quantité vient pallier ce manque. Plus l’organisme en demande, plus la dépendance à la drogue grandit.
Le phénomène de dépendance repose sur trois mécaniques :
On ne devient pas accro à la drogue après seulement quelques prises. On le devient quand l’usage est régulier et que l’organisme commence à en demander davantage. En France, il y a des milliers d’individus qui ne peuvent se passer de tabac, de cigarettes, d’alcool et bien évidemment de drogue. La plupart d’entre eux ont la volonté d’arrêter mais le besoin ressenti est bien plus fort. Cette situation inquiétante a fait l’objet de nombreuses études plus approfondies sur les mécanismes qui déclenchent ce phénomène dans le cerveau. Ce qui fait l’unanimité auprès des scientifiques est que la dépendance à la drogue est ancrée dans le cerveau de manière très profonde.
L’apparition dépend de plusieurs facteurs tels que l'état psychique du sujet, son environnement social et familial, le type de drogue consommé et bien d'autres paramètres. C'est pourquoi les mécanismes de dépendance ne sont pas déterminés précisément. Cependant, celle-ci peut être brutale ou progressive.
Le sujet devient dépendant aux drogues lorsque les symptômes suivants apparaissent :
Il existe différentes catégories de drogues :
Ici on oppose les substances en fonction de leur capacité à créer une dépendance psychique et physique. Par exemple, la cocaïne et l’héroïne sont classées comme étant des drogues dures, elles provoquent de fortes dépendances et le risque de surdose peut être mortelle.
Le terme drogue douce quant à lui est réservé au cannabis car le risque de dépendance mental est très faible. De plus le risque de décès par surdose est nul. L’appellation « drogue douce » reste controversé car la prise de n’importe quelle substance hallucinogène peut conduire à la toxicomanie. Ainsi, des chercheurs souhaitent utiliser l’expression « drogue lente » plutôt que « drogue douce ».
Les drogues naturelles concernent les produits ayant subi peu ou pas de transformation comme le cannabis ou les champignons. Les drogues de synthèse désignent les substances comme le LSD ou l’ecstasy qui elles ont besoin d’une préparation en laboratoire.
Des spécialistes classent également les substances psychoactives selon les effets. Il y a par exemple les sédatifs (downers), les stimulants (uppers), les hallucinogènes (trips) et les aphrodisiaques (stimulants sexuels).
On distingue en principe trois voies d’administration de la drogue :
Voici une liste non exhaustive des principales drogues que l’on trouve le plus souvent en France.
LE CANNABIS :
Chanvre indien, marijuana, shit ou haschich est la forme de drogue la plus répandue de France. La substance active du cannabis est le THC ou tétrahydrocannabinol. Elle est considérée comme stupéfiant et est répertoriée dans la liste de la brigade antidrogue.
Effets : la consommation de cannabis entraine des euphories et procure au consommateur une sensation de plaisir. L’euphorie est accompagnée en général d’envie soudaine de rire. La consommation de forte dose agit directement sur le cerveau, provoque un trouble visuel, une perte de mobilité ou de dynamisme, une difficulté à réaliser une tâche simple et à long terme un dérèglement de la mémoire.
Dépendance : La consommation répétitive de cannabis a pour conséquence la dépendance. Selon la profession médicale, l’usage abusif de cannabis entraine une dépendance psychique moyenne et une dépendance physique minime. Toutefois, la situation est préoccupante lorsqu’un individu en consomme dès le plus jeune âge.
L’HÉROÏNE :
Appelée également de diamorphine ou diacétylmorphine, il s’agit d’une substance psychotrope synthétique ou semi-synthétique fabriquée à partir de morphine. Le principe actif de l’héroïne est l’alcaloïde extrait du pavot à opium.
Effets : réchauffement, hypotension artérielle, diminution de la libido, ralentissement du rythme cardiaque, baisse de la fréquence respiratoire, hypothermie, démangeaisons, insomnie, interruption du cycle menstruel pour les femmes… .
Dépendance : La consommation répétitive à long terme entraine une forte dépendance physique et psychique. Cette dépendance est accompagnée de troubles liés à l’humeur et à l’anxiété. Ce qui a pour conséquence l’isolement et le repli sur soi.
LA COCAÏNE:
La cocaïne est une substance extraite de feuille de coca. Elle est présentée sous la forme de poudre blanche inodore. Elle est caractérisées par sa forme cristallisée et son goût amer.
Effets :
L’usage de la cocaïne entraine un comportement euphorique excessif, une sensation de faculté intellectuelle supérieure, de l’indifférence à la douleur, à la fatigue et à la faim, un état de délire répété ou encore d’hallucination ponctuelle, des troubles du comportement, des troubles du système nerveux, des contractions des vaisseaux sanguins et des troubles cardiaques.
Dépendance :
L’usage régulier et répétitif provoque une dépendance totale. Sur une longue période, la cocaïne entraine des troubles et effets graves sur la santé. La dépendance psychique est rapide. Il sera extrêmement difficile de sortir le sujet de l'engrenage de la dépendance à la cocaïne, une aide extérieure est indispensable.
L’ECSTASY :
L’ecstasy ou « pilule de l’amour » est une drogue illégale en France. Elle est présentée sous forme de comprimés colorés ou de capsules. Elle contient de la MDMA ou Méthamphétamine. Il agit directement en tant que stimulant sur le système nerveux central. La pilule est classée comme stupéfiant en France et interdit à la consommation.
Effets :
La consommation de l’ecstasy entraine quelques problématiques :
Crampes musculaires, agitation, irritabilité, peur ou frisson, trouble de la vision, insuffisance rénale, insomnie, impulsivité, perte d’appétit, transpiration fréquente, arythmie, perte de libido, émotion mélancolique (tristesse, peine, chagrin), agressivité…
L’ecstasy a un effet destructeur sur le cerveau et c’est un phénomène irréversible.
Dépendance :
L’ecstasy est un produit extrêmement dangereux malgré l’image ludique qu’on veut lui donner. Il s’agit d’un mélange de produits chimiques aussi toxiques les uns que les autres (MDMA, cocaïne, caféine, éphédrine, dextrométrophane…). Cette drogue entraine un mécanisme d’accoutumance qui provoque la dépendance. De plus, une personne dépendante à l’ecstasy ne peut effectivement plus s’en passer car sans elle, le sujet n'éprouve plus de plaisir sexuelle, entre autre.
L’ALCOOL ET LE TABAC :
L’alcool et le tabac ne sont pas considérés comme stupéfiants, toutefois la forte consommation et la dépendance à l’alcool et/ou au tabac sont aussi dangereuses pour la santé de l'individu qui en consomme.
Chaque composant constituant la synergie aux huiles essentielles a été sélectionné avec attention. La réduction progressive du phénomène de dépendance est incontournable pour le malade. En attendant de recevoir le pack, voici d’autres solutions naturelles provisoires :
Ces solutions proposées sont évidemment indiquées chez toutes les personnes victimes de ces troubles. Cependant, elles sont efficaces principalement lorsque l'individu se situe dans un stade avancé de guérison. Celles-ci viennent en support à une motivation importante et à l'espoir de retour à une vie saine.
Il est extrêmement compliqué pour une personne dépendante de se passer de drogue. Des petits gestes précieux peuvent être adoptés pour sortir progressivement de la situation :
Pour sortir de la dépendance, il y a des attitudes et des gestes à éviter :
Prendre soin de sa santé mentale et physique est primordiale. Une alimentation saine, équilibrée et variée permet de gérer le stress et garder la tête froide en cas de survenance d'évènement grave, évitant ainsi d'emprunter le chemin de la drogue, une nouvelle rechute ou de s'orienter vers une autre addiction. Une alimentation est saine lorsqu’elle contient tous les éléments nutritifs essentiels à l’organisme.
Le sport est l'allié par excellence pour lutter contre la rechute. Il ne s’agit nullement d’un traitement contre la dépendance mais seulement un accompagnement au traitement. Le sport aidera dans ce processus car il accélère l’élimination de substances toxiques contenues dans le sang. Le sport est aussi un traitement naturel antistress et antidépressif. Les activités physiques permettent de réduire l’envie de fumer, de prendre de la drogue et de retrouver un bien être certain.
De plus, la pratique d’un sport libère de la dopamine, aussi appelée hormone du plaisir, elle procure une sensation de bien-être, proche des sensations apportées par les drogues.
Quel sport pratiqué ?
De nombreux conseils orientent les gens vers les sports d’endurance :
Il est absolument fondamental de pratiquer un sport apprécié, le but étant de l'adopter et de le pratiquer autant que possible. Le cerveau retiendra en effet que le sport permet de ressentir des effets similaires à ceux de la drogue. D'autres activités sportives peuvent être intéressantes :
L’essentiel c’est de choisir un sport adapté à ses aspirations et ses envies.
La dépendance à la drogue est un phénomène insidieux qui s'installe sans même s'en apercevoir. La rechute est tout aussi dangereuse. Il est donc primordiale voir vitale dans certains cas de s'en prémunir par quelques mesures à adopter :
En tout temps, l’Homme semble avoir fait usage de drogue. Ainsi, on cultive déjà l’opium dans l’Asie mineure il y a plus de 8 000 ans de cela.
De récentes trouvailles attestent également la consommation de coca au Pérou en 2500 avant J.C. Les textes les plus anciens qui font référence à l'usage de cannabis datent de 2 700 ans avant J.C en Chine.
C’est durant la période coloniale européenne au XVIIe siècle que ces produits commencent à prendre une place importante dans le commerce international. Les scientifiques commencent alors à s’intéresser aux vertus apaisantes et antidouleurs des drogues. D’ailleurs, l’emploi de médicaments à base d’opium demeure très important durant les guerres napoléoniennes.
Au début du XXe siècle, les Etats Unis fortement conservatrice commencent à dénoncer et à interdire le commerce de nombreuses substances hallucinogènes. C’est là que le monde de la drogue fut assimilé au monde criminel.
FIN
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