Le cauchemar est un rêve désagréable qui cause des sentiments négatifs, tels que la peur, l’horreur, l’anxiété, la tristesse ou le désespoir. Ce dérèglement peut également décrire un danger réel, un trouble psychologique, ou de la terreur. Il survient pendant la phase paradoxale du sommeil au moment où les rêves sont les plus présents.
Les émotions occasionnées pendant le cauchemar peuvent devenir très intenses, au point de réveiller le dormeur. C’est justement ce réveil nocturne qui aide le dormeur à s’en prémunir, bien qu’après, il arrive à peine à s’endormir.
Dans ce dossier spécial, nous allons vous expliquer la synergie aux huiles essentielles, les différentes formes, le mécanisme des cauchemars.... la petite histoire
Olyaris vous dit tout !
Prenez un flacon en verre coloré de 2 ml, versez :
Appliquez 2 gouttes de la synergie sur la face interne des poignets et sur le plexus solaire 30 minutes avant de coucher. À faire pendant 2 à 3 semaines.
Public concerné :
Ne convient pas aux femmes enceintes ou allaitantes
Ne convient pas aux moins de 6 ans
Cas particuliers :
Un avis médical est requis pour les asthmatiques et épileptiques avant toute utilisation. À proscrire également pour les personnes allergiques aux aspirines, en cas d’eczéma, d’ulcère, d’hernie, d’hémorragie ou ayant subi une opération, de cancer hormono-dépendant actuel ou passé, de trouble hormonal, de mastose, fibrome ou phlébite. Ne pas dépasser les doses prescrites.
Dispositions spécifiques :
Attention, il est conseillé aux personnes allergiques de réaliser un test sur le creux du coude et d’attendre 48 h. S’il n’y a aucune réaction, vous pouvez utiliser la composition en toute sérénité.
Demandez un avis médical en cas de prise d’autres traitements en parallèle
Les propriétés, les indications et les modes d’utilisation indiqués sont tirés d’ouvrages de référence et confirmés en aromathérapie, hydrothérapie et phytothérapie.
Ces informations sont données à titre informatif et non médical. En aucun cas Olyaris ne se substitue aux diagnostics de votre thérapeute et ne pourrait se tenir responsable de toute automédication. Pour tout usage thérapeutique, consultez votre médecin ou thérapeute.
L’huile essentielle de camomille romaine possède des principes actifs puissants. Cette forte teneur lui confère des vertus apaisantes qui soulagent le stress et les angoisses. De ce fait, elle prévient le cauchemar, tout en améliorant la qualité du sommeil.
Cette huile est utilisée depuis longtemps pour soulager les spasmes nerveux. Néanmoins, elle est aussi prisée pour son action sur le cerveau. En effet, elle équilibre le système nerveux, afin d’apaiser les angoisses légères et les agitations nocturnes.
L’huile essentielle de marjolaine des jardins contient des substances actives qui agissent directement sur le cerveau. Ses principes actifs régulent effectivement le système nerveux central. En plus, elle soulage également l’anxiété, découvrez notre guide sur ce trouble ici, grâce à son pouvoir anxiolytique
L’huile essentielle d’angélique renforce l’action de la synergie. Ses composants sont en symbiose avec les principes actifs de la camomille romaine. Ensemble, ils aident à calmer le cerveau. Cette huile essentielle apaise également le stress et l’angoisse à l’origine du cauchemar.
Dans le langage courant, le cauchemar se rapproche de plusieurs troubles du sommeil, comme :
Pourquoi les tracas quotidiens débarquent dans nos songes ? Les scientifiques se sont penchés sur la question. À l’issue d’une étude, ils découvrent que les cauchemars nous entraînent à faire face à la réalité. En effet, les personnes qui subissent une forte émotion pendant leurs rêves réagissent mieux une fois le soleil levé.
Freud s’aligne également sur la même idée. D’après sa théorie, le cauchemar est le fruit de l’inconscient. Le mauvais rêve sert à exprimer une angoisse, un désir ou une peur refoulés. Les personnes anxieuses et dépressives sont donc plus sujettes. Cela explique les songes d’une jeune épouse qui rêve fréquemment de l’infidélité de son mari.
De ce fait, le cauchemar est considéré comme une activité cognitive réalisée par le cerveau endormi. Ce dernier est loin d’être bienveillant. Bien au contraire, 2/3 des situations qu’il décrit sont négatives.
Ce travail du cerveau survient pendant la phase du sommeil paradoxal. Comme la paralysie du sommeil, il se produit au moment où l’activité cérébrale est la plus intense. Cette phase se situe en fin de nuit, à la dernière étape du cycle du sommeil. Elle est donc la plus courte (entre 15 à 20 minutes), bien qu’elle soit la plus intense.
Si le cauchemar est le fruit de notre inconscience pendant la phase paradoxale du sommeil, ce mauvais rêve survient pour plusieurs raisons :
Le cauchemar n’arrive pas à tout le monde. Certaines personnes sont sujettes à ce dérèglement que d’autres. Parmi les victimes se trouvent :
Lorsque le cauchemar survient, il déclenche le plus souvent des signes désagréables. Parmi ces symptômes se trouvent :
Un premier épisode de cauchemar est sans incidence sur la vie du dormeur, mais à long terme, il peut s’évoluer, causant d’autres problèmes :
Dans tous les cas, le cauchemar diminue à l’âge adulte. Effectivement, les enfants sont susceptibles de faire des mauvais rêves que leurs parents. Néanmoins, si ce dérèglement survient quand même, alors, tournez-vous directement auprès d’un spécialiste.
Les huiles essentielles constituent les premières solutions naturelles contre le cauchemar. Mais elles peuvent également être complétées par les remèdes suivants :
Le plus souvent, le cauchemar crée une émotion difficile à débarrasser. Si tel était le cas, alors, essayez de vous en prémunir en adoptant les bons gestes :
Le cauchemar peut persister des semaines. De ce fait, prévenez sa complication en évitant les mauvaises habitudes suivantes :
Le dîner influe véritablement sur la qualité du sommeil. Alors, pour prévenir les réveils nocturnes, privilégiez :
Le sport est conseillé, en cas de cauchemar. Néanmoins, pour en tirer profit au maximum, choisissez bien l’activité à faire. Si possible, optez pour les exercices relaxant et apaisant, tels que :
Même si le cauchemar est parfois imprévisible, il est possible de le prévenir. Pour ce faire, adoptez les mesures de prévention suivantes :
Étymologiquement, le terme cauchemar vient du latin « calcare » qui signifie fouler ou écraser et du mot germanique « mahr » qui correspond à une ombre fantomatique qui monte à cheval. On raconte que ce mauvais esprit prend l’habitude de surprendre le dormeur pendant la nuit.
Le cauchemar intéresse le monde médical depuis longtemps. Hippocrate décrit déjà les symptômes (la dyspnée et l’oppression thoracique) dans ses écrits médicaux. Mais, à cette époque, ce médecin grec le désigne sous le nom de « Ephialtès ».
Après avoir conquis la Grèce, le cauchemar séduit ensuite Rome. De nombreux médecins romains s’y intéressent à cause de ces symptômes qui provoquent un sentiment d’étouffement. Ces scientifiques le surnomment d’ailleurs « l’étouffeur ».
Néanmoins, ce dérèglement du sommeil suscite aussi l’intérêt des folklores populaires depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. La première croyance populaire commence à Rome. Les romains désignent le cauchemar sous le nom « incubus ». Ils l’assimilent à un démon (un être maléfique) qui essaie de violer le dormeur. Cette approche démonologie du cauchemar anime les esprits à partir du Moyen Âge.
Il faut attendre la fin du xviie siècle pour que le cauchemar bascule de nouveau vers le monde de la médecine et de la psychologie. Un médecin « Louis Dubosquet » effectue d’ailleurs une thèse sur ce phénomène. C’est à ce moment, qu’il emploie pour la première fois, le terme « cauchemar ».
Actuellement, le cauchemar peut être expliqué de manière scientifique, bien que les dormeurs l’attribuent encore à des phénomènes surnaturels.